Sainte Barbe est, bien sûr, la patronne des mineurs; et elle est fêtée chaque année début décembre.
Barbe a vécu au IIIème siècle à Nicomédie (Aujourd'hui, un port de Turquie nommé Izmit). Au retour d'un voyage de son père, riche païen, Barbe lui apprend qu'elle s'est convertie au christianisme pendant son absence. Du coup, le père met le feu à la tour dans laquelle elle s'est réfugiée; mais Barbe s'en sort saine et sauve. Elle s'enfuit, mais elle est dénoncée par un berger des environs. Son père la traîne devant le gouverneur romain qui la condamne à d'affreux supplices et à être décapité par son père. Celui-ci obéit, mais la foudre le tue sur place, dès l'acte commis.
Depuis ce jour, Barbe protège contre la foudre et la mort subite; et donc, contre le coup de grisou.
Le nom est donné à la montée en 1896.
> La montée Ste. Barbe part de la rue St. Marc (qui est aussi une montée), pour arriver rue Henri Gonnard.
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© Photo Pierre Faurand